Puis, on m’a répondu que malheureusement personne ne serait disponible en Californie pour me répondre. J’ai insisté. On m’a fait comprendre que je n’avais pas à me plaindre : j’avais déjà eu la chance de l'interviewer - en 2008 ! – un des spécialistes maison des problèmes de « privacy » (respect de la vie privée). J’ai alors contacté le responsable de Google Europe, qui m’a répondu qu’il allait m’aider, avant de retourner sa veste et de me dire qu’il ne voyait pas la nécessité pour moi de rencontrer des responsables de Google aux Etats-Unis : selon lui, on pouvait très bien enquêter sur le sujet depuis la France.
vendredi 4 novembre 2011
L’omerta de Google
Lorsque je me suis rendu dans la Silicon
Valley en novembre 2010 pour enquêter pour ce livre, j’ai bien sûr demandé à
pouvoir rencontrer des représentants de Google à Mountain View. Je me suis
adressé, plus d’un mois à l’avance, aux attachés de presse de Google France,
qui, très poliment, m’ont assuré de leur intérêt pour ma demande et qu’ils
allaient tout faire pour la satisfaire.
Puis, on m’a répondu que malheureusement personne ne serait disponible en Californie pour me répondre. J’ai insisté. On m’a fait comprendre que je n’avais pas à me plaindre : j’avais déjà eu la chance de l'interviewer - en 2008 ! – un des spécialistes maison des problèmes de « privacy » (respect de la vie privée). J’ai alors contacté le responsable de Google Europe, qui m’a répondu qu’il allait m’aider, avant de retourner sa veste et de me dire qu’il ne voyait pas la nécessité pour moi de rencontrer des responsables de Google aux Etats-Unis : selon lui, on pouvait très bien enquêter sur le sujet depuis la France.
Puis, on m’a répondu que malheureusement personne ne serait disponible en Californie pour me répondre. J’ai insisté. On m’a fait comprendre que je n’avais pas à me plaindre : j’avais déjà eu la chance de l'interviewer - en 2008 ! – un des spécialistes maison des problèmes de « privacy » (respect de la vie privée). J’ai alors contacté le responsable de Google Europe, qui m’a répondu qu’il allait m’aider, avant de retourner sa veste et de me dire qu’il ne voyait pas la nécessité pour moi de rencontrer des responsables de Google aux Etats-Unis : selon lui, on pouvait très bien enquêter sur le sujet depuis la France.
Rebelote en février 2011, lorsque j’ai voulu en savoir un peu plus sur
le fonctionnement de la publicité comportementale chez Google. J’ai, de
nouveau, adressé une demande au service de presse, qui m’a très aimablement
répondu que j’allais pouvoir interviewer un représentant de Google France sur
le sujet, avant de me demander plus d’informations – un réflexe normal, après
tout, chez une entreprise qui veut gérer l’information dans le monde
entier ! – sur mon livre, puis de finalement de me proposer de répondre à
mes questions par mail ! Voir http://tousfiches.blogspot.com/2011/11/une-video-expliquant-le-fonctionnement.html
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