Toutes ces informations seraient consultables sur un site central, qui servirait en quelque sorte d’autorité certificatrice, placée sous le contrôle d’une organisation internationale. Mais, en plus, elles s’afficheraient automatiquement à chaque fois qu’un nouvel utilisateur s’inscrirait à ce service. Techniquement, c’est tout à fait faisable : Facebook le fait à chaque fois que nous autorisons une application à accéder à nos données sur notre réseau social.
vendredi 4 novembre 2011
Proposition : évaluer les sites Internet en fonction de leur impact sur notre vie privée
Ce classement expliquerait, pour chaque nouveau service et en termes simples, les informations des internautes auxquelles il accède, dans quel but, pendant combien de temps et avec quels organismes extérieurs ces informations sont partagées.
Toutes ces informations seraient consultables sur un site central, qui servirait en quelque sorte d’autorité certificatrice, placée sous le contrôle d’une organisation internationale. Mais, en plus, elles s’afficheraient automatiquement à chaque fois qu’un nouvel utilisateur s’inscrirait à ce service. Techniquement, c’est tout à fait faisable : Facebook le fait à chaque fois que nous autorisons une application à accéder à nos données sur notre réseau social.
Toutes ces informations seraient consultables sur un site central, qui servirait en quelque sorte d’autorité certificatrice, placée sous le contrôle d’une organisation internationale. Mais, en plus, elles s’afficheraient automatiquement à chaque fois qu’un nouvel utilisateur s’inscrirait à ce service. Techniquement, c’est tout à fait faisable : Facebook le fait à chaque fois que nous autorisons une application à accéder à nos données sur notre réseau social.
Les informations de
base nécessaires à l’établissement de ce classement seraient communiquées par
les entreprises qui éditent ces nouveaux services en ligne ou logiciels. Cette
déclaration serait envoyée sous forme électronique à l’autorité certificatrice,
qui quasi instantanément évaluerait ce service et lui enverrait, en retour, le
message à afficher à tout nouvel utilisateur, avec éventuellement, des options
à cocher, pour laisser le service accéder à des données supplémentaires ou pour
les partager avec des tiers.
Les informations
collectées seraient publiques, ce qui permettrait à n’importe quel internaute
ou chercheur intéressé par le respect de la vie privée d’en vérifier la
véracité. L’autorité certificatrice maintiendrait une équipe de quelques centaines
de spécialistes qui se saisirait de toutes les plaintes. Irréaliste ?
Apple emploie seulement quelques dizaines de salariés pour examiner les quelque
8 500 nouvelles applications qui, chaque semaine, lui sont soumises pour
approbation avant leur mise en vente sur l’App Store[i].
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